Read ROMANCE: Bear Naked Passion (Billionaire Bear Trio Book 2) Online
Authors: Audrey Storm
Chapitre 3
Charlie
Charlie regar
d
é Ash en voiture et a sorti son
télé
phone cellulaire.
"Cendres v
a
à votre chambre affa
mé
s. Le
dé
jeune
ré
tait un buste."
"Dammit, j'es
pé
rais qu'il serait res
t
é absent plus longtemps. D'accord, donc je vais avoi
r
à le nourrir puis renvoyer chez lui pour quelque chose ", a
dé
cla
r
é Diana.
"
Dé
so
l
é je ne pouvais pa
sê
tre de plus d'aide. Je n'avais aucune i
dé
e qu'i
lé
tait
déj
à ici. Alors merci pour les chefs jusqu'."
Diana a ri.
" Il voulait vous surprendre, baby girl".
"Eh bien, qu'il a fait. Je me dois de revenir au travail. Je vous verrai ap
rè
s."
"Tous les droits, Charlie. Voir ya, et merci pour l'avertissement."
"Bye".
Elle a raccroc
h
é et caden
c
é en retour. Tous ses enfant
sé
taient assis pour
dé
jeuner heureusement broutait vers le bas. Elle laissa Jessie con
g
é et s'appuya contre le compteur. Sa jour
né
e avait pris un tour bizarre. Il sorte de semblait cendre a revenir avec une mission en
tê
te, et il semblait que la missio
né
tait son. Elle ne savait pas comment elle se sentai
t
à ce sujet. Pour plus d'une raison. I
lé
tait son demi-f
rè
re, plus jeune et
déj
à mar
ié
e
s
à des militaires. Elle ne serait pas capable de traiter lu
ié
tant al
lé
s tout le temps.
Elle voulait smack pour elle-
mê
me
mê
me y penser. Il serait erro
n
é d'avoir une relation avec lui. Elle ne serait pas capable de lui donner beaucoup d'avenir. Elle ne serait pas capable de lui donner la famille qu'elle savait qu'il
rê
vait d'avoir. I
lé
tait i
né
vitable qu'il allait quitter son ou renvo
yé
e ses ap
rè
s il a consta
t
é ce que signifiai
tê
tre avec elle. Aucun homme qui voulai
tê
tre un
pè
re voudrait elle. Le cancer a pris la materni
t
é loin d'elle. C'est une des raisons pour lesquelles elle se consacr
e
à ses enfants. Chaque enfant qui est ven
u
à son centre de garde d'enfants
aét
é l'un des siens. Elle aimait tous et chacun d'eux.
Charlie secoua la
tê
te et riait. Elle n
'é
tait
mê
me pas
sû
r de ce que Ash cherchait, et ell
eé
tait
déj
à penser du fait qu'elle ne serait pas en mesure de lui donner les enfants. Il n
'é
tait que de 24. Il avait beaucoup de progresser encore, et elle n
'é
tait
mê
me pas certain s'il voulait encore enfants. Il l'a fai
t
à l
'é
poque. Avant qu'il gauche quand ils avaient appri
s
à se conn
aî
tre les uns les autres, il a par
l
é de la f
aç
on dont il voulait avoir une grande famille. Elle s'est deman
d
é s'il croyait toujours de cette f
aç
on ap
rè
s avoir vu les dures
ré
ali
té
s du monde
ré
el.
Ap
rè
s le
dé
jeuner, elle a fait son temps de lecture avec les enfants et nic
hé
e chacun d'eux dans pour la sieste. I
lé
tait temps qu'elle a habituellement p
ré
vue pour la semaine prochaine
.
À ce rythme, elle aurait le trois prochaines an
né
es p
ré
vues. Aujourd'hui, bien qu'elle a ti
r
é le journal qu'elle n'avait pa
sé
crit en depuis qu'elle a traver
s
é la chimio et a
dé
ci
d
é d
'é
crire. Il avai
tét
é pendant quelque temps.
La prochaine chose qu'elle savait Missy frottait ses yeux et
bé
ant.
"Mademoiselle Charlie il est presque temps pour mama
n
à venir encore?"
Elle a regar
d
é l'horloge et a sursau
té
. Le temps avait vraiment eu loin d'elle.
"C'est
sû
r, Lil' Miss. en une vingtaine de minutes, Maman sera ici pour venir vous chercher."
Elle hocha la
tê
te et scampered retou
r
à son lit et envelop
p
é sa couverture autour de se
sé
paules. Miss
yé
tait toujours la prem
iè
r
eé
veil
l
é et la prem
iè
r
e
à partir. Elle n'avait que cinq enfants gauche. Alors qu'i
lé
tait temps pour elle de se rendr
e
à son papa pour les cendres du parti welcome home. Elle avait le sentiment qu'il n'allait pa
sê
tre heureux d
'ê
tre encomb
r
é par beaucoup de gens.
Charlie a commen
c
é sa propre jusqu'rituel a commen
c
é à cr
oî
tre en tant que parents de leurs enfants. Missy couru jusqu
'
à elle e
té
treint so
né
troitement tout comme elle le faisait chaque jour. C
'é
tait la meilleure partie de la jour
né
e. Elle aimait le
sé
treintes et d'affection chaque enfant volontairement don
n
é son. Il a lentement la g
ué
rison son coeur bri
sé
. Ne pa
sê
tre en mesure d'avoir des enfants de son propre
aét
é un gros prob
lè
me. Elle voulai
tê
tre une maman plus que tout au monde. Sachant qu'elle n'a pas pu c
ré
er la vie lui a fait sentir comme si elle n
'é
tait pas un plein femme plus longtemps. C
'é
tait la raison elle est res
tée
à l
'é
cart des hommes. Elle n'avait pas trou
v
é qu'ell
eé
tait p
rê
t
e
à prendre une chance de gagner.
Par le temps Andy, le petit ga
rç
on qui pleurait pour plus de la moit
i
é de la jour
né
e, chaque jour, gauch
eé
tai
té
pui
s
é Charlie. C'est arri
v
é tout le temps. Elle venait d'obtenir fatig
u
é de nulle part et puis la panique, mais elle a
d
û cesser de se p
ré
occuper du cancer et revenir vivre parce que si elle n'a revenir qu'elle ne voulait pas avoir aucun regret.
Jessie et Stacey rencont
rée
à la porte.
" Alors, qu
ié
tait la co
lè
re hunk qui est en plus
tô
t? "
Les " cendres ".
" Qui est-ce?"
" Un ami." Elle n
'é
tait certainement pas l'intention de lui expliquer.
" Il fait chaud e
té
tait super
dé
termi
née
à voir vous."
" Il est en con
g
é de l'ar
mé
e. Il a simplement
dé
couvert que j
'é
tais malade."
Stacey
pâ
lit.
"Qu'il ne connaissait pas le cancer? "
"Non, je n'ai jamais di
t
à lui. Il n'a pas besoin de se soucier de moi pendant qu'i
lé
tait
dé
plo
yé
."
"Wow. Eh bien, ont une bonne nuit, Charlie. Vous voir la semaine prochaine."
"Ouais." Elle est sorti de sa voiture et lui sourit. Elle n'aimait pas la f
aç
on dont elle
aét
é exci
t
é pour voir lui. Plus elle a ten
t
é de dire qu'elle n'a pas envie de prendre un copain-qu'elle ne voulait pas que quelqu'un souffr
e
à cause d'elle, et le fait qu'i
lé
tait la famille-la plus qu'elle n'a voulu de lui. Elle avait choisi de ne pas lu
ié
crire pour cette raison. Elle savait qu'elle aurai
té
miet
t
é et pleu
r
é à lui si elle avait maintenu en contact ap
rè
s son
dé
part. Elle
ré
alise maintenant, elle aurait
d
û lu
ié
crit certains, mais a promis cette fois lorsqu'il a quit
t
é elle aurait. Chaque soldat avait besoin de recevoir des lettres. Il
aét
é quelque chos
e
à regarder de l'avant trop pendant le chaos.
L'entr
aî
nemen
t
à la maison familiale semble faire glisser. Elle n'a
mê
me pas don
n
é la peine d'alle
r
à la maison changer en premier. Elle ga
ré
e dans l'al
lé
e et fait son chemi
n
à l'in
té
rieur avec le don qu'elle avait soigneusement choisi pour lui. Elle se souvenait de lui lui disant qu'il aimait la lecture de p
oè
mes, et elle a trou
v
é un
eé
dition s
pé
ciale d'
Hemingway.
I
lé
tait en bo
né
tat et quelque chose qu'elle avait pen
sé
. Elle n'avait
mê
me pas su qu'i
lé
tai
t
à veni
r
à la maison. Elle avait ache
t
é pour son anniversaire et allait avoir Diana envoyer avec son don. Au lieu qu'elle en aurai
t
à lui en donner. Il avai
tét
é dans sa malle de semaines envelop
pé
s her
mé
tiquement. Elle n'avait pas encore
ré
uss
i
à le donne
r
à sa belle-
mè
re.
Chapitre 4
Cendres
J
'é
tais assis avec ma et Ted, attente de Charlie. Ma avait
céd
é et m'a dit qu'elle avait p
ré
vu un retour au bercail, mais ensuite
ré
ali
s
é parti probablement que je n
'é
tais pas d'humeu
r
à partie, elle a donc
dé
ci
d
é d'avoir un
dî
ner familial intime d'abord et avant que je ne quitte elle envisageait de faire quelque chose de grand. Il s'agissait d'un changement de dern
iè
re minute, apparemment.
Lorsque Charlie est arri
vé
e, elle fro
nç
a les sourcils et mettre quelque chose sur le comptoir.
"Ce qui s'est pas
sé
?"
Ma sourit et haussa le
sé
paules.
"J'ai annu
l
é du grand parti jusqu
'
à ce que nous lui envoyer de nouveau
dé
sacti
vé
. J'ai pen
s
é un souper de famille serait plus appropr
ié
."
" Je vois ", dit-elle, et haussa le
sé
paules ramas
s
é ce qu'elle avait mis sur le comptoir. "Eh bien, voici votre cadeau d'anniversaire. C'est un peu
tô
t, mais je veux que vous avez maintenant." Elle m'a remis un cadeau embal
l
é soigneusement.
"Merci, Charlie." J'ai ouvert son don et a sursau
té
. Oui vraiment, et puis j'ai a sursau
t
é quand j'ai ouvert de nouveau le couvercle et
ré
ali
s
é que c
'é
tait un
eé
dition s
pé
ciale. "Vou
sê
tes incroyablement fous de moi, j'a
iét
é à la recherche de cette. J'ai tous les autres ".
"Vous n'avez?"
"Ouais, celui-ci
aét
é une chienn
e
à trouver."
"Ah, bien... J'ai trou
v
é qu'il y a des mois, et j'es
pé
rais que vous souhaitez. Je me suis souvenu que vous me disant qu'i
lé
tait votre favori."
"Putain de droites." J'ai
ré
sis
t
é jusqu
'
à partir de la table et lui a ti
r
é dans un
câ
lin. Je n'ai pas soin de nos parent
sê
tre autour. Ils pourraient ainsi s'habitue
r
à nou
sê
tre ensemble, parce que si j'avais mon chemin ap
rè
s ce soir qu'elle serait la mienne. Je n'ai pa
sét
é un homme patient, et je n'ai ressenti aucune
né
cessi
t
é de joue
r
à des jeux. La vi
eé
tait trop court. J'ai vu que sur une base quotidienne, et ap
rè
s avoir consta
t
é à propos de sa maladie J'ai ressenti le besoin d
'ê
tre avec elle
mê
me plus que jamais. Elle m'a embras
s
é retour pour quelques merveilleux secondes mais puis ti
r
é en arr
iè
re avec joues rouges.
" Ce n'est pas un gros prob
lè
me."
"C'est totalement une grosse affaire, merci."
Puis, prenant avantage, j'ai embras
s
é sa joue avant de reveni
r
à mon s
iè
ge. Tout le temps de son papa eyed moi curieusement et les Ma yeux arro
s
é comme elle savait ce qui se passait. L'enfer, elle l'a fait. Je n'ai jamais cac
h
é quelque chose d'elle. Pas comme elle l'a fait de moi. Charlie sembl
e
à perte jusqu
'
à ce que son
pè
re effa
c
é sa gorge.
"Eh bien, nous allons manger. Je meurs de faim."
Charlie ri et s'assit, son malaise s
'é
loigne.
"Vou
sê
tes toujours affa
mé
e, ne sont pas " vous?"
J'ai ta
p
é sur mon disque de l'estomac.
"L'Enfer, ouais. Je suis encore un ga
rç
on qui grandit."
Son papa ri et secoua la
tê
te.
"Vous n
'ê
tes aucun ga
rç
on tout plus, cendres."
"Nah, mais je mange toujours comme je l'ai fait lorsque j'a
iét
é 16 ans."
"mieu
xê
tre prudents, il rattrapera pour vous," dit-il et flatter son propre ventre.
" Je vais garder cel
a
à l'esprit."
Ma se leva et Charlie suivie dans la cuisine. Son papa tour
n
é grave.
"Elle est fragile, cendres. Si vous n
'ê
tes pas
sé
rieux au sujet de son conservez votre dick dans vos pantalons. Charlie a
déj
à beaucoup, et je me serais normalement souhaitez
dé
chirer vous en dehors de toutes les choses que vous pensez, mais je sais que vou
sê
tes un homme bon, et c'est ce dont elle a besoin. Je vai
sé
galement admettre que je ne suis pas tro
p
à l'aise avec l'i
dé
e de vous deux ensemble
dè
s maintenant. Veuillez vous abstenir de mettre vos mains partout son en face de moi."
Mes yeux s'est creu
sé
. Je suppose que je n
'é
tais pas trop disc
rè
te avec comment je me sentais. "Oui, monsieur. Et pour l'enregistrement, ce n'est pas un nouveau sentiment que j'ai pour elle. Aussi nous ne sont pas l
i
é par le sang. Vous l'ave
zé
pou
s
é ma
mè
re et nou
sé
tions tous deux
déj
à adultes. Il ne devrait y avoir aucune raison d'avoir un prob
lè
me avec nou
sê
tre ensemble, mais je vais respecter vos souhaits."
Les femmes sont revenues et notre conversation
aét
é cou
pé
e. Il hocha la
tê
te mais le froncement de sourcil
sé
tait toujours p
ré
sent. Je savais qu'il serait difficile de gagner son papa plus. J'ai obtenu que les gens pourraient penser que c
'é
tait bizarre, mais surtout personne n'avait vraiment mis ensemble, et probablement ne le sera pas, et s'ils n'ont qu'il ne faisait pas attention. Il n
'é
tait pas comme si on avait tout de
mê
me l'ADN. Franchement, il est nobody's damn business. Il n
'é
tait pas contre la loi.
Je l'ai regar
dé
e chaque mouvement et de plus j'ai regar
d
é le plus que je voulai
sê
tre seul avec elle. J'a
iét
é p
rê
t pour le
dî
ne
r
à faire afin que je puisse suivre son accueil. J'avais bien l'intention de lui montrer combien je voulais qu'elle. Je souhaitai
s
à
dé
guster ses
lè
vres,
mê
m
e
à l
'é
poque, mais la seule fois que j'ai essa
y
é de l'embrasser avant, elle avait arrac
h
é puis n'a pas me voir pendant p
rè
s d'une semaine.
Je savais qu'elle pouvait sentir mon stare, et elle a fait un bon travail en ignorant de moi. Je suis res
t
é assi
s
à
é
couter ma conversation. Je voulais que le genre d'amour nos parents l'avaient fait. Il
sé
taient tellement affectueux et doux qu'i
lé
tait sur le point d
'ê
tre exas
pé
rant, mais je voulais toujours ce sentiment. Je savais que je pouvais avoir qu'avec Charlie.
Le
dî
ner a du
r
é une heure trop long, et puis bien
sû
r, Charlie avait pour aider ma nettoyer. Par le temps qu'ils ont fait j'avais assez d'Assis autour. Son
pè
re n'avait pas par
l
é à moi beaucoup ap
rè
s sa mise en garde. J'avais beaucoup de respect pour lui, mais qu'ell
eé
tait une femme mature. Si elle n'a pas envie d
'ê
tre avec moi, qu'elle avai
t
à me dire. Puis le raisonnement aurait pour donner un sens, parce que j
'é
tais
dé
termi
né
, et je pourrais soutenir ma f
aç
on de pratiquement n'importe quelle circonstance.
Enfin elle est ent
r
é dans la cuisine et donne l'accolad
e
à son
pè
re et l'a embras
s
é sur la joue. Elle jeta un coup d'oeil me et agi
té
.
"Voir ya demain, right? "
Ouais. J'avais oubl
i
é à propos de notre
dî
ner. Elle verriez moi demain tout droit. Quand je me suis
ré
veil
l
é à
côt
é d'elle. J'aurais toute la jour
né
e avec elle. J'ai souri. "Ouais
.Ê
tes-vous de rentre
r
à la maison ? "
"Ouais, je suis presqu
eé
pui
sé
."
"Permettez-moi marcher sur vous."
Elle secoua la
tê
te.
"C'est pas grave.
Je me suis le
vé
.
"Non, je insister."
Elle haussa le
sé
paules et agi
t
é à ma avant de marche
r
à l'ex
té
rieur. J'ai pla
c
é ma main sur le bas du dos juste parce que j'avais besoin de toucher son et ame
née
à sa voiture.
"Vous n'avez vraiment pas besoin de le faire. J'a
iét
é capable de parle
r
à moi-
mê
me de ma voiture."
"Je sais, mais je voulais vous demander Somethin'."
Elle a
dé
verrouil
l
é la porte et me fait face.
"SURE?"
"Puis-je vous suivr
e
à la maison ? "
Ses yeux s'est creu
sé
.
"Cendres, ce n'est probablement pas une bonne i
dé
e. "
Je la
nç
ait sa contre la voiture.
"Pourquoi ne pas, Charlie?"
Elle
lé
c
h
é ses
lè
vres.
"Parce que je pense que j'ai une i
dé
e sur pourquoi vous voulez venir avec mo
i
à la maison."
Je contreven
t
é mes mains de chaque
côt
é de son et bros
s
é mon corps contre le sien. Je n'ai pas manq
u
é son f
ré
mir inspiration ou doux. " Je pense que vous avez raison, mais je ne pense pas que ce soit une mauvaise i
dé
e."